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Mon premier roman est sorti
jeudi 8 octobre 2015
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Comme annoncé récemment, 13lignes.be n'est plus. Je suis parti plusieurs mois en Colombie pour y écrire mon premier roman. Les choses se sont passées plus vite que prévu. J'ai trouvé un éditeur en quelques semaines après mon retour à Bruxelles. Le roman sortira en septembre. Son titre sera communiqué lors de l'émission "Globe-croqueurs" sur la radio La Première, le 5 août à 16h. J'aurai l'occasion de vous y parler du livre mais surtout de la Colombie, qui est rapidement devenu le décor principal de l'histoire et par la même occasion de ma propre vie. Afin de vous tenir au courant de toutes ces nouvelles et aussi de garder le contact avec les lecteurs de la première heure, je lance aujourd'hui un nouveau blog: www.dansuncarnet.be. Vous pourrez y lire quelques éditoriaux "à la 13lignes", vous tenir au courant de la sortie du livre et suivre mes aventures dans ce pays magique qui a changé le cours de mon existence. Je suis actuellement à Bogota où je finalise les corrections du premier roman et où j'ai déjà entamé l'écriture du second. Merci pour votre fidélité et pour vos nombreuses marques de soutien dans cette aventure passionnante. A bientôt! Hugo Poliart www.dansuncarnet.be
Nouveau blog: "Dans un carnet"
samedi 4 juillet 2015
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13 lignes, c'est fini. Définitivement. 7 ans, c'est un cycle qui se termine. Merci aux nombreux lecteurs qui ont suivi cette aventure. Depuis le 1er avril, j'ai commencé un nouveau job. Et ce n'est pas de la blague. C'est un travail un peu particulier. Je n'ai pas de patron. Le seul patron, c'est moi. Je l'ai vu ce matin. Il m'a dit : « Le job est simple. La mission dure six mois. Tu n'auras pas d'horaire, tu peux travailler quand tu veux, où tu veux. Au Sénégal, en Australie ou à Etterbeek, peu importe. Personne ne viendra te dire ce qu'il faut faire ou ne pas faire. Tu n'auras pas de salaire non plus. Tu te débrouilles. Si tu as faim, si tu as froid, ce n'est pas mon problème. Ton seul objectif, c'est de faire ce que tu aimes et uniquement cela. Ce ne sera pas facile. Tu vas en baver. Tu vas douter et il n'y aura personne pour te soutenir, personne pour faire le travail à ta place, personne pour te dire à quelle heure il faut se lever ou comment organiser ta journée. Mais si tu y arrives, si tu survis à la perte de tous tes repères, si tu acquiers la discipline nécessaire, si tu arrives à faire de ce que tu aimes une nouvelle vie ; alors tu auras tout gagné. » En résumé, je vais écrire un roman. A bientôt. Hugo Poliart
13 lignes, c'est fini.
vendredi 3 avril 2015
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A part évidemment dans le cas d'un drame particulièrement atroce ou lorsque des familles sont dans le deuil et qu'il y a un minimum de respect à avoir et des précautions à prendre ou encore lorsque le contexte politique ou culturel implique qu'il y ait une forme de retenue vis-à-vis de certains symboles chers à des communautés spécifiques et qu'il est communément accepté que ces symboles ont, dans l'environnement culturel donné, une sorte de position particulière dont la remise en question pourrait faire vaciller l'équilibre du vivre-ensemble ou carrément l'ordre public; et bien entendu, lorsque les codes moraux de la société dans laquelle on vit risquent d'être heurtés, remettant ainsi en question notre façon de fonctionner ensemble, un peu comme lorsqu'une situation politique donnée peut également exiger un devoir de réserve, ou quand le dépassement de certaines limites peut mettre en péril la sécurité des biens et des personnes; ou encore quand il faut simplement faire attention à ce qu'on dit pour ne pas froisser ou bien, en résumé, quand ton chef n'est pas d'accord, eh bien, à l'exception de ces cas-là, la liberté d'expression doit être défendue bec et ongles!  (Bon, en même temps, si tu dis un truc sur ma mère, y aura des conséquences...)
Pour en finir avec la liberté d'expression
lundi 26 janvier 2015
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Que se passe-t-il? Parti plusieurs semaines et complètement déconnecté de l'actualité belge et européenne depuis la mi-décembre, j'ouvre mon ordinateur ce matin pour reprendre l'écriture. Je fais un rapide survol des derniers titres de l'actualité. "Une menace jihadiste imminente en Belgique", "300 militaires descendront dans la rue dès ce samedi", "Abdelamid Abaaoud, l'homme qui veut terroriser la Belgique", "Des comptes Twitter piratés de médias annoncent la troisième guerre mondiale", "Une vingtaine de cellules terroristes latentes prêtes à frapper l'Europe", "Pourquoi la Belgique est aussi en guerre"... Wow! Eh ben! Je ne sais pas ce qui s'est passé ces dernières semaines mais apparemment, ça démarre fort 2015! Après un quart d'heure de lecture, je commence à ressentir un terrible mal-être, un sentiment d'angoisse qui contraste avec ce ciel parfaitement bleu au-dessus des jardins arrières, éclairés par un soleil brillant mais froid, typique des belles journées d'hiver. Nous sommes donc en guerre. Dire que mon frigo est vide. Il me reste un demi Chavroux périmé et une bouteille de Spa. Jamais je ne tiendrai avec ça pendant le conflit. Enfin, il y a quand même une bonne nouvelle dans l'actualité cette semaine. Apparemment, pour une raison que j'ignore, les ventes du journal satirique Charlie Hebdo auraient soudainement explosé. C'est bien! Mais j''espère que tout cela n'est pas lié. En même temps, c'est normal. En temps de guerre, les gens ont envie de se détendre.
"JE SUIS PARTI"
samedi 17 janvier 2015
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En résumé, Uber est un service de location de voitures privées avec chauffeur. Il est bon marché, environ 40% moins cher qu'un taxi officiel bruxellois. Il crée de l'emploi: les chauffeurs sont souvent des gens comme vous et moi, qui exercent cette activité complémentaire pour arrondir leurs fins de mois, ou plus. Uber est un système durable: les voitures n'ont pas été achetées. On utilise simplement un peu plus le parc existant. Uber est convivial et a un excellent service à la clientèle: le chauffeur est coté après chaque course et le client aussi. Uber est performant: une application GPS, un appel en un seul clic, temps d'attente connus et pas d'argent liquide car tout est digital. Uber est totalement transparent: pas de compteur coupé, de courses en noir, tout est tracé et facturé. Uber est sûr: on sait qui vous êtes, qui vous conduit, où vous êtes. Uber n'est pas un monopole: n'importe qui peut lancer une application concurrente s'il le souhaite. Enfin Uber offre une véritable alternative de mobilité. Il est le chaînon manquant avec la STIB, le Villo!, et les voitures partagées Cambio pour se passer définitivement d'une voiture, et pourrait réellement aider à réduire les embouteillages dans la capitale. Alors évidemment, dans ces conditions... un service bon marché, convivial, durable, transparent, sûr, performant, compétitif, avec des clients satisfaits et qui crée de l'emploi et offre de vraies solutions aux problèmes de mobilité d'aujoud'hui, vous ne pensiez quand même pas qu'on allait autoriser ça à Bruxelles?
Pourquoi on interdit Uber
vendredi 12 décembre 2014
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Après un été indien savoureux, un temps plus gris et plus froid s'est installé sur le pays. Manque de lumière, lèvres gercées, fatigue accumulée: la déprime saisonnière n'est pas loin. Voici 10 gestes simples pour y échapper. 1) Etirez les doigts plusieurs fois en tenant les mains horizontalement devant votre clavier 2) Avec la main droite, prenez votre souris et faites des mouvements circulaires 3) Rendez-vous sur un site de voyage et fixez attentivement les photos de plages ensoleillées pendant plusieurs secondes 4) De temps à autre, cliquez sur le bouton gauche et agrandissez les images d'hôtels ou de plages 5) Exercez ensuite vos bras en plongeant la main droite dans la poche gauche de votre veston puis la main gauche dans la poche droite. 6) Ensuite, continuez de fixer attentivement les images de plage, tout en cliquant de temps à autre pour aller vers des descriptions plus précises et des photos plus détaillées 7) Refaites l'exercice des bras et sortez votre carte de crédit de votre portefeuille. Tenez la carte du bout des doigts et faites la pivoter sans la laisser tomber. 8) Inspirez et expirez une fois à fond pour changer l'air qu'il y a dans votre cerveau 9) Tenez la carte de crédit devant vous, à hauteur de l'écran où s'affiche l'hôtel et la plage sélectionnés. 10) Cliquez sur "Confirmer commande".
Eviter la déprime hivernale en 10 gestes simples
jeudi 11 décembre 2014
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Uber n'est pas une "société de taxis". Une "société de taxis", en fait, c'est une société créée en suivant la loi qui définit ce qu'est une société de taxis…  Uber, c'est autre chose. C'est un éco-système, permis par les technologies d'aujourd'hui. Dans ce système, il y a des règles, minimales et plus souples. Un chauffeur privé doit avoir une voiture d'une certaine catégorie, entretenue, assurée, assez récente et propre. Le reste, c'est le client qui juge, en donnant une note d'appréciation à chaque trajet. Mais ce client est coté à son tour par le chauffeur. Il n'y a pas de question d'argent ni d'histoire de compteur coupé entre eux: tout est automatisé. Il n'y a pas d'infrastructures Uber. Il n'y a que du logiciel. Le reste, ce sont des voitures qui existaient déjà et des êtres humains qui existaient déjà, mais qui ne se connaissaient pas. Maintenant, ils se connaissent, ils se parlent et ça se passe plutôt bien. Alors, bien sûr Uber est une entreprise qui fait ou fera du profit. Mais ce qui vaut de l'argent dans toute cette histoire, c'est l'idée originale et la marque. Si vous n'êtes pas content, il fallait l'inventer vous-même! Uber, c'est le premier signe visible d'une économie basée sur le partage et l'utilisation rationnelle des ressources existantes, avec le support des technologies mobiles. Qu'on le veuille ou non, Uber est un signe de la fin d'une société où "tout le monde doit posséder tout". On va posséder moins et utiliser plus. Et ce ne sont pas les syndicats des taxis bruxellois qui vont arrêter ce mouvement.
Pour en finir avec le débat sur Uber
lundi 8 décembre 2014
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Ce week-end, les militants du PS vont se rendre aux urnes car le mandat d'Elio Di Rupo est remis en jeu et l'élection d'un nouvel Elio Di Rupo a été organisée. Beaucoup de suspense car il y a cette année plusieurs candidats pour occuper la fonction tant convoitée d'Elio Di Rupo. Il y a d'abord bien sûr Elio Di Rupo, Bourgmestre de Mons qui a une longue expérience de la politique locale et qui connaît bien le Hainaut, une terre socialiste historique. Et puis, il y a l'ancien Premier ministre Elio Di Rupo qui brigue également la fonction d'Elio Di Rupo. On le dit un peu abattu et amer suite à sa courte expérience à la tête du fédéral, mais Elio Di Rupo peut tout de même l'emporter face à Elio Di Rupo, ancien Président du parti qui a probablement fait son temps aux yeux de certains. Et enfin, un inconnu dans les rangs socialistes: Elio Di Rupo, qui rêve de doubler tout le monde par surprise. Alors, la pression sera maximale ces vendredi et samedi. Qui va l'emporter? Elio Di Rupo? Elio Di Rupo? Ou peut-être Elio Di Rupo? Voire pourquoi pas carrément Elio Di Rupo, le challenger? En tous cas, nous suivrons en direct le décomptage des voix et nous serons les premiers à donner le nom du vainqueur de cette élection d'un nouvel Elio Di Rupo. On ne se risquera pas à faire des pronostics, mais certains observateurs bien informés ont indiqué qu'Elio Di Rupo avaient toutes ses chances de devenir le prochain Elio Di Rupo, "étant donné le besoin vital du parti de se remettre en question".
Election d'Elio Di Rupo
vendredi 21 novembre 2014
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Dans un article en ligne, la RTBF salue "un coup de génie en communication": à la Chambre, le Secrétaire d'Etat Théo Francken était accompagné par un "conseiller noir"! Le journaliste précise toutefois: Laurent Mutambayi est également diplômé en droit. Interview. 13lignes: Depuis quand êtes-vous noir? LM: C'est une vocation qui m'est venue tout petit déjà. Un jour, je me suis regardé dans le miroir et je me suis dit: tu seras noir, c'est ça ton truc! Je constate aujourd'hui en lisant la presse que j'avais eu raison. 13lignes: Comment se passe la journée typique d'un conseiller noir? LM: C'est assez semblable, je pense, à n'importe quelle journée de n'importe quel conseiller. On lit des dossiers, on étudie, on formule des propositions. La seule différence, c'est qu'à la fin, on reçoit peu de commentaires sur le contenu du travail, les gens disent simplement: "Eh mais il est noir!". 13lignes: Trouvez-vous que votre Secrétaire d'Etat est raciste? LM: Le racisme, c'est comme le sexisme, c'est une façon de voir le monde selon telle ou telle différence. Théo Francken sait que je suis noir, je lui ai dit dès le début. Et depuis, on n'en parle plus. Il a d'ailleurs ri ce matin en voyant la presse: "Ah oui, tiens, c'est vrai, j'avais complètement oublié que tu étais noir!"
Le conseiller noir de Théo Francken répond à nos questions
jeudi 20 novembre 2014

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